Koob de

L’Éducation nationale - Une machine à broyer

de Isabelle Dignocourt par Laurence Monnier

publié le 14/11/2017

En lisant ce résumé, vous découvrirez que l’Éducation nationale est une machine administrative broyeuse d’élèves et de professeurs.

Vous découvrirez aussi que :

- les enseignants ont désormais pour mission d’être des animateurs ;

- il leur est demandé de faire passer les compétences avant la connaissance ;

- malgré un budget en hausse de 40 milliards d’euros en 20 ans, l’Éducation nationale ne va pas mieux ;

- en 25 ans, pas moins de 13 ministres s’y sont succédé.

En mars 2016, Isabelle Dignocourt adresse une lettre à Najat Vallaud-Belkacem pour y dénoncer “l’abjecte réforme du collège” décidée par la ministre de l’Éducation nationale. Une maison d’édition prend alors contact avec l’auteure de cette lettre et l’incite à écrire un livre. Dans “L’Éducation nationale, une machine à broyer”, Isabelle Dignocourt présente son parcours, explique précisément pourquoi l’école va mal et qui est responsable de ce désastre.


Biographie de l'auteur

Enseignante de profession, Isabelle Dignocourt transmet les savoirs aux adultes de demain depuis 1991, date de sa première année scolaire en qualité d'institutrice. Spécialisée dans les lettres classiques après l'obtention de son CAPES, elle exerce son métier dans les collèges du nord de la France, d'abord à Roubaix et Tourcoing, puis à Aire-sur-la-Lys. En 2016, Isabelle Dignocourt sort une première fois de l'anonymat en rédigeant une lettre ouverte à l'attention de Najat Vallaud-Belkacem. Trois ans plus tard, celle qui dénonce les réformes successives du collège mises en place par les gouvernements français récidive. Avec la publication de son ouvrage "L'Éducation nationale, une machine à broyer", l'amoureuse des lettres et du français tire la sonnette d'alarme sur l'état de l'école dans notre pays.

Commentaires :

user_5f2b2f82e240e
2020-08-07 10:47:54
Une dame qui a des comptes à régler avec l’éducation nationale et qui fantasme une École d’antan qui n’a jamais vraiment existé ou qui, si elle a existé, a favorisé l’entre-soi et la sélection d’une élite napoléonienne ; bref, une école qui va à sa perte. concentré de nostalgie pour une école de l’entre-soi CSP+. On comprend vite que cette dame n’a jamais mis les pieds dans une vraie classe et qu’elle ne partage pas les valeurs d’une école réellement républicaine qui vise la réussite de TOUS.
5954cb5d30175
2019-02-12 18:07:53
Synthèse des différentes réformes du système.