Kintsukuroi. L'art de guérir les blessures émotionnelles

En lisant ce koob, vous apprendrez comment surmonter une épreuve difficile et être plus fort émotionnellement.

Vous apprendrez aussi :

• que chacun souffre d’une épreuve à sa façon ;

• que votre réaction à cette épreuve dépend en partie de votre personnalité ;

• comment reconstruire votre vie après une épreuve difficile ;

• que la résistance émotionnelle peut s’apprendre tout au long de la vie ;

• que vous pouvez tirer des leçons de l’adversité.

La vie est ponctuée de moments de bonheur, mais également de moments de tristesse. Lorsque vous faites face à une épreuve difficile, tout semble s’écrouler autour de vous et vos certitudes volent en éclat. Heureusement, cette étape de deuil de votre vie d’avant n’est pas permanente. Vous pouvez remonter la pente et vous reconstruire, à l’image des principes du Kintsukuroi, un art japonais ancestral qui consiste à réparer un objet cassé à l’aide de feuilles d’or. Cette analogie est une façon de montrer qu’il est possible de transcender ses blessures, pour en faire une force. Êtes-vous prêt à guérir de vos blessures émotionnelles ?

Kintsukuroi de Tomás Navarro a été publié aux éditions de La Martinière.

L’avis de l’auteure du koob, Amélie Maquiaba :

“Cet ouvrage est très intéressant et donne d’incroyables idées pour se relever après une épreuve difficile. Les conseils sont nombreux et étayés de multiples exemples pour se projeter dans son histoire personnelle, et les mots de l’auteur sont bienveillants et rassurants. Bien que ce ne soit pas un sujet facile à traiter, l’auteur parvient à trouver les bons mots pour vous faire comprendre les raisons de votre souffrance et surtout pour vous pousser à vous mettre en mouvement.

J’ai beaucoup aimé les courts récits au début de chaque chapitre, qui apportent une touche de fantastique et de mystique à l’ouvrage. Ce livre est vraiment une bulle d’air et de poésie, et il fera du bien à toute personne souhaitant retrouver le bonheur et l’envie d’avancer après un événement malheureux !”