Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations - livres I et II

En lisant ce koob, vous découvrirez les principes fondateurs de l’économie politique selon Adam Smith.

Vous découvrirez aussi :

• que le travail est à l’origine de la richesse d’une nation ;

• que la division du travail permet la productivité, source de croissance économique ;

• que la véritable valeur d’une marchandise se trouve dans le travail qu’elle contient ;

• que le travail pour son intérêt personnel contribue à l’équilibre naturel du marché ;

• que l’accumulation d’un capital est un préalable nécessaire à la division du travail.

Quand Adam Smith, économiste et philosophe écossais, a écrit Richesse des Nations (1776), il a été le premier à définir les principes de la croissance économique. Ce célèbre ouvrage en cinq livres a présenté les grands thèmes fondateurs de l’économie politique. Ces derniers, qui deviennent plus compréhensibles s’ils sont replacés dans le contexte du XVIIIe siècle, s’opposaient à la pensée mercantiliste de l’époque. Les théories d’Adam Smith ont été innovantes dans l’histoire de l’économie. Elles ont servi de socle de réflexion à des générations de célèbres économistes après lui et son ouvrage incontournable représente le début des sciences économiques modernes. Êtes-vous prêt à en comprendre les mécanismes ?

L’avis de l’auteure du koob, Catherine Lomenech :

“Tout le monde cite les grands textes et les grands auteurs qui sont le socle pour tous les enseignements pour soi ou pour ses études. Je me rends souvent compte, en écoutant des interviews ou à la lecture d’articles, que ceux qui les ont vraiment lus ne sont pas aussi nombreux que ceux qui en parlent. J’ai aimé replonger dans ce texte et y retrouver toutes les citations dans leur contexte. Une fois de plus, je découvre que rien ne vaut de revenir à la source pour comprendre vraiment le message d’un auteur.
Richesse des nations est un remarquable document historique, sociologique, politique et philosophique résumant l’ensemble des savoirs du XVIIIe siècle. Je comprends à quel point il mérite d’être encore étudié aujourd’hui.”