En lisant ce koob, vous découvrirez la vie d’Alexandra David-Neel, journaliste, cantatrice, aventurière, franc-maçonne et anarchiste.
Vous découvrirez aussi :
que sa jeunesse devait la conduire vers une vie bourgeoise et rangée ;
que son insoumission et ses fugues ont désarçonné ses parents ;
que son mariage, loin de l’assagir, lui a donné l’occasion de voyager ;
que Philippe, son mari, l’a toujours soutenue, même si leur vie conjugale était hors norme ;
comment son amour pour l’Asie lui a permis de découvrir le bouddhisme ;
son état d’esprit révolutionnaire qu’elle a conservé tout au long de sa vie.
Dans une lettre adressée à son mari, une phrase résume bien l’état d’esprit d’Alexandra David-Neel : "J’ai toujours eu l’effroi des choses définitives. Il y en a qui ont peur de l’instable, moi j’ai la crainte contraire.” Dès l’enfance, elle a voulu voyager. Elle a souvent forcé la chance pour organiser des expéditions dans des endroits où nulle autre femme européenne n’avait pénétré. Sa résistance physique et son endurance la placent au rang des femmes extraordinaires. Êtes-vous prêt à découvrir le parcours de cette femme exceptionnelle ?
L’avis de l’auteur du koob, Daniel Pavard :
“Même sans être féru de culture asiatique, la lecture des expéditions d'Alexandra David-Neel est passionnante. J’ai particulièrement aimé sa détermination, son courage et sa résistance physique qui provoquent l’admiration. Au cours de toutes ses péripéties, elle partage son affection maternelle avec un jeune indien qui va l’assister dans la plupart de ses voyages. Il faut aussi reconnaître, et elle-même l’exprime à plusieurs reprises, que la patience de Philippe, son mari, est exceptionnelle. C’est d’ailleurs leur correspondance quotidienne qui a permis l’écriture de cette biographie. Au milieu de ce récit, j’aurais aimé quelques photos et cartes pour situer les lieux et les personnages. Le style est agréable et l’ouvrage fourmille d’anecdotes : il s’adresse aussi bien aux amateurs d’aventures qu’aux lecteurs intéressés par l’histoire du XXe siècle.”
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