En lisant ce koob, vous découvrirez que votre environnement et votre mode de pensée peuvent agir sur votre code génétique et modifier votre métabolisme.
Vous découvrirez aussi :
que la vie n’est pas le résultat d’une lutte mais d’une collaboration entre les cellules ;
que chaque cellule d’un organisme vivant est un être à part entière ;
que l’environnement influence la réaction d’une cellule plus que son ADN ;
que la façon dont vous percevez le monde a un impact sur votre santé ;
que la force énergétique de votre esprit et de vos convictions a le pouvoir de rectifier votre code génétique.
La découverte de l’ADN a incité les scientifiques à considérer qu’un individu est programmé définitivement par son code génétique. Au contraire, l’épigénétique, branche de la biologie qui étudie les mécanismes modifiant l’activité des gènes, montre qu’un être humain est capable d’intervenir sur sa propre biologie. Votre environnement, plus que vos gènes, influence votre métabolisme. Ainsi, les expériences de la petite enfance, les traumatismes, mais aussi les mécanismes mentaux qui vous ont été inculqués agissent sur votre santé. Vous avez alors le pouvoir de vous libérer de votre codage génétique. Êtes-vous prêt à découvrir comment vos croyances peuvent modifier votre métabolisme ?
L’avis de l’auteure du koob, Catherine Lomenech :
“Découvrir de quelle manière une cellule reçoit l’information et peut la traiter est un grand pas dans la compréhension du fonctionnement de la vie. Apprendre que l’ADN ne fait pas tout et qu’en aucun cas nos gènes ne nous enferment pas dans une sorte de parcours génétique tout tracé est très rassurant. Cela nous dit que l’hérédité n’est pas une fatalité et que nous avons la liberté d’influencer notre métabolisme. Mais cela nous rappelle surtout que nous dépendons les uns des autres et que nous devons être vigilants par rapport aux valeurs que nous transmettons. J’ai particulièrement été sensible au fait qu’apprendre à cultiver le bonheur et à développer des valeurs altruistes peut apporter la santé, y compris aux âmes blessées.
Finalement, nous sommes comme les cellules : nous avons besoin les uns des autres pour évoluer. C’est une nouvelle théorie de l’évolution qui me plaît beaucoup et qui est porteuse d’espoir.”
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