En lisant ce koob, vous découvrirez l’histoire du XXe siècle à la lumière de ses grands événements économiques.
Vous découvrirez aussi :
comment l’économie du XXe siècle a forgé l’histoire politique du monde ;
comment les principales doctrines économiques ont été incarnées dans les politiques de puissants États ;
quels sont les principaux jalons historiques du XXe siècle ;
comment les États-Unis sont devenus la première puissance mondiale ;
comment le communisme s’est incarné en URSS et en Chine ;
ce qui fait l’unité historique du XXe siècle.
Le XXe siècle est celui des mutations profondes, notamment pour l’économie mondiale. Dès lors, l’histoire économique du XXe siècle a débuté par une rupture majeure en 1914 : la Première Guerre mondiale. Il prend fin en 2001 avec l’adhésion de la Chine à l’Organisation mondiale du commerce, signe qu’elle devient un acteur majeur du marché international. L’économie du XXe siècle est liée à la décolonisation, l’avènement de l’informatique, les deux guerres mondiales ou encore la réorganisation des puissances géopolitiques. Comment les évolutions économiques ont forgé le monde que vous connaissez aujourd’hui ?
L'avis de l'auteure du koob, Caroline de Blay :
“Je suis très impressionnée par l’esprit de synthèse de l’auteur. Il se propose de faire toute l’histoire économique d’un siècle extrêmement dense et il y parvient en moins de 300 pages, de manière claire et limpide. J’ai été étonnée de voir qu’avec des trésors de concision, l’auteur arrivait à entrer dans le détail de certains phénomènes complexes en seulement quelques lignes. De plus, le texte n’est pas académique et se lit très facilement. Toutefois, je recommande cet ouvrage à tous ceux qui maîtrisent déjà certains fondamentaux d’histoire moderne et contemporaine mais aussi d’économie, notamment en matière monétaire.
Sur le fond, ce qui m’a le plus marquée dans cette lecture est le fait que le monde soit sorti d’une de ses pires crises économique, celle de 1929, par la préparation de la Seconde Guerre mondiale. J’ai trouvé que ce chapitre illustre remarquablement bien le fait que la science, en l'occurrence l’économie, ne connaît pas de morale.”
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