En lisant ce koob, vous apprendrez que la sécurité nucléaire n’est pas assurée par les gouvernements, malgré les discours officiels.
Vous apprendrez aussi :
que les centrales nucléaires sont vieillissantes et non préparées à certains risques ;
que les déchets nucléaires posent de sérieux problèmes de sécurité publique ;
que le terrorisme fait peser des menaces inquiétantes sur les installations nucléaires et que rien, ou presque, n’est fait pour s’en prémunir ;
que le secret défense empêche toute investigation sérieuse dans le domaine du nucléaire.
Si le nucléaire ne vous fait pas spécialement peur, les risques actuels devraient vous faire changer d’avis… Déjà, la Seconde Guerre mondiale et les explosions nucléaires d’Hiroshima et de Nagasaki ont montré la puissance et la dangerosité des armes atomiques. En outre, les explosions des centrales nucléaires de Tchernobyl et de Fukushima ont montré les risques inhérents à la construction des réacteurs nucléaires. Toutefois, il existe un autre risque qui n’est pas pris en compte à sa juste mesure par les gouvernements et les populations : le risque terroriste. Celui-ci n’est pas que potentiel : des attentats sur les installations nucléaires ont déjà été déjoués. Actuellement, les réseaux terroristes cherchent à trouver des points faibles utilisables pour provoquer le maximum de dégâts. Il est grand temps de prendre la mesure exacte de ce risque. Êtes-vous prêt à ouvrir les yeux ?
L'avis de l'auteur du koob, Mauro Morgana :
"Un documentaire éclairant et très inquiétant sur les risques que fait peser l’industrie nucléaire sur la population. Il met en évidence les nombreux cris d’alarme émanant de sources très différentes : des députés, des scientifiques ou encore des associations comme Greenpeace. Toutes constatent que la sécurité nucléaire est bien en deçà de ce qu’elle devrait être pour une raison très simple : sa mise en œuvre coûte trop cher.
Beaucoup trouveront que c'est un documentaire à charge, mais malheureusement, rien de ce qui est avancé n’est imaginé ! Le film permet donc une prise de conscience peu agréable, mais d’intérêt public."
Commentaires :