Koob de

L'oubli est essentiel pour bien mémoriser

de Benedict Carey par Ludivine Varela

publié le 29/12/2020

Souvent, on craint d'oublier, or il n'est pas de souvenir sans le pouvoir de l'oubli. 

Nietzsche l'expliquait déjà dans ses "Considérations inactuelles" : “L’oubli n’est pas seulement une vis inertiae, comme le croient les esprits superficiels ; c’est bien plutôt un pouvoir actif, une faculté d’enrayement dans le vrai sens du mot, faculté à quoi il faut attribuer le fait que tout ce qui nous arrive dans la vie, tout ce que nous absorbons se présente tout aussi peu à notre conscience pendant l’état de "digestion" que le processus multiple qui se passe dans notre corps pendant que nous "assimilons" notre nourriture."

Objectif de ce mini-koob : découvrir les bienfaits de l'oubli.



Biographie de l'auteur

Benedict Carey est un journaliste et reporter américain né le 3 mars 1960 à San Francisco. Loin de se destiner au métier de journaliste, il étudie les mathématiques à l'université du Colorado, où il obtient un diplôme en 1983. Malgré cela, le jeune homme rejoint un programme de journalisme en 1985 à l'université de Nortwestern. C'est cette expérience qui lui permet d'intégrer deux ans plus tard Hippocrates, un magasine situé à San Francisco et spécialisé en science et en médecine. Après quelques années, il décide finalement de travailler en tant que journaliste freelance à Los Angeles, avant d'être recruté par le Los Angeles Times pour traiter les questions de santé. L'un de ses articles publié en 2002 obtiendra même un prix de l'université du Missouri. Benedict Carey rejoint finalement les rangs du New York Times en 2004, où il est spécialiste des questions scientifiques et médicales.

Commentaires :

5ff56e9a63f5e
2021-01-06 08:12:05
très bien, mais comment améliorer sa capacité de stockage?
user_60b47550c56fa
2021-01-01 03:39:51
Je retiens que ce qu'il faut travailler c'est notre capacité de restitution.