Koob de

We Are the Weather

de Jonathan Safran Foer par Camille Lefèvre

publié le 04/12/2019

En lisant ce koob, vous apprendrez que chacun a un rôle à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Vous apprendrez aussi :

  • que les actions collectives sont bien souvent les plus efficaces ;

  • que, si l’humanité n’accepte pas d’amorcer de véritables changements, les catastrophes naturelles seront sans précédent ;

  • que les gouvernements tendent à ignorer l’urgence climatique par complaisance ;

  • que le “storytelling” joue un rôle fondamental dans toute (r)évolution ;

  • que la consommation de produits d’origine animale est profondément néfaste pour l’environnement.

Aussi tragique soit-il, l’avenir de l’environnement ne semble pas inquiéter quiconque outre mesure. La Terre souffre et suffoque, tandis que les êtres humains mènent une vie démesurément consumériste. Pourtant, les statistiques sont claires. Il est grand temps d’agir, au risque d’être confronté à toujours plus de catastrophes naturelles. Ce discours volontairement alarmiste souligne, en fait, le comportement que chacun semble avoir choisi d’adopter : ne rien faire. Or l’humanité ne peut pas se targuer indéfiniment d’avoir modifié et adapté son environnement, sans jamais en payer les conséquences. C’est le moment de s’adapter et de trouver des alternatives aux modes de vie désormais bien ancrés dans les sociétés contemporaines. Que pouvez-vous faire à votre échelle ?

L’avis de Koober :

We Are the Weather interpelle en s’intéressant aux questions environnementales et écologiques. L’écrivain Jonathan Safran Foer vous entraîne dans sa propre réflexion sur ce qu’il peut faire (et vous aussi !) à l’échelle individuelle pour combattre le réchauffement climatique. Le livre contient des illustrations, des exemples et des détails personnels ajoutés par l’auteur pour vous interpeller et vous expliquer pourquoi il faudrait sauver la planète.

Si vous êtes déjà un expert dans ce domaine, cet ouvrage ne vous sera cependant pas très utile car il ne donne pas de solutions concrètes.”

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